Centre CEA de Grenoble

CEA Grenoble

Histoire

Fondation	8 décembre 1956

Cadre

Type	Institut de recherche, centre de recherche
Domaine d'activité	Énergie nucléaire Énergies alternatives Défense et sécurité Télécommunications Recherche fondamentale
Siège	Grenoble
Pays	France
Coordonnées	45° 12′ 04″ N, 5° 42′ 06″ E

Organisation

Chercheurs	2 500 employés
Fondateur	Louis Néel
Organisation mère	Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives
Filiale	Laboratoire des Technologies de la Microélectronique (d)
Affiliation	Ministères de l'Écologie, de l'enseignement supérieur et des Armées
Site web	portail.cea.fr/Pages/le-cea/les-centres-cea/grenoble.aspx

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Le CEA Grenoble, nommé centre d'études nucléaires de Grenoble (CENG) jusqu'en 1995^[1], est un centre de recherche du Commissariat à l'Énergie atomique (CEA) situé avenue des Martyrs dans le quartier Presqu'île de Grenoble. Il a été fondé en 1956 à l'initiative de Louis Néel, prix Nobel de physique et a possédé trois piles atomiques jusqu'à la fin des années 1990.

En 2014, le CEA Grenoble compte 2 500 chercheurs et techniciens sur un campus de 64 hectares^[2], devenant en 2013 le siège du CEA Tech^[3] qui regroupe avec l'ensemble des sites français un total de 4 500 chercheurs^[4]. Selon le classement de mars 2016 du « Top 25 Global Innovators – Government » établi par l'agence Reuters, le CEA est l'organisme public le plus innovant au monde^[5]. Le CEA Grenoble contribuant d'une façon importante dans ce classement puisque représentant 70 % des demandes de brevet de l'ensemble du CEA^[6].

Dans le cadre de sa reconversion, le site inaugure en 2018 la première unité française de production industrielle d’hydrogène renouvelable.